mercredi 27 mars 2013

Exposition « Le Jour des Corneilles »

GOBELINS, l'école de l'image accueille, du 8 avril au 31 mai 2013, l'exposition « Le Jour des Corneilles » construite autour du film d'animation éponyme produit par Finalement Production et réalisé par Jean-Christophe Dessaint, ancien élève de GOBELINS, l'école de l'image.

Adapté de l'œuvre de Jean-François Beauchemin, « Le Jour des Corneilles » est le fruit d'une étroite collaboration entre le producteur William Picot, la scénariste Amandine Taffin et le réalisateur Jean-Christophe Dessaint.

Si le film est remarquable pour la cohérence de son écriture et sa mise en en scène, il est l'est aussi pour son univers visuel. Les décors ont fait l'objet d'un traitement pictural où le rendu de la lumière tient une place importante. Le choix du fusain, les contrastes optiques entre les couleurs suggèrent les différentes atmosphères des paysages du film. Une attention toute particulière a également été portée aux personnages graphiques dont l'animation peut aller du réalisme au cartoon.

L'exposition retrace les différentes étapes de la conception et de la réalisation du film d'animation « Le Jour des Corneilles » au travers d'une trentaine de panneaux : croquis, design de personnages, études décors, recherches décors, storyboards, layouts décors, décors de production, lines up couleur, colorscripts, images finales...

Une conférence-rencontre animée par le réalisateur Jean-Christophe Dessaint et le directeur artistique Patrice Suau aura lieu le mardi 9 avril 2013. Sur invitation.

Exposition du 8 avril au 31 mai 2013
Du lundi au vendredi, de 10 heures à 18 heures
GOBELINS, l'école de l'image
73, bd Saint-Marcel - 75013 Paris

LI CHEN / PAD PARIS / STAND 17 GALERIE MINET-MERENDA / 27 MARS-01 AVRIL

La galerie Minet-Merenda, spécialisée dans les antiquités d’art et l’art contemporain asiatiques, participe au PAD PARIS du 27 mars au 1er avril 2013, aux TUILERIES, STAND 17.

Elle expose six sculptures inédites en France de l’artiste taïwanais Li Chen. Inspirées de la statuaire bouddhiste traditionnelle et des principes de la philosophie taoïste, ses oeuvres expriment une nouvelle spiritualité orientale. Figure majeure de l’art contemporain en Asie, Li Chen est classé 61e des plus grands artistes mondiaux par Artprice en 2012.

Les sculptures de Li Chen seront présentées dans un esprit conjuguant l’ancien et le moderne aux côtés de pièces exceptionnelles originaires de Chine et du Japon: coffre, paravent et painting table.

Depuis plus d’un quart de siècle, Annie Minet et son époux Luc Merenda voyagent à travers l’Asie à la recherche de pièces rares, originales ou contemporaines. Ils sont des figures incontournables de l’art asiatique et ont su introduire dans les collections françaises le savoir-vivre asiatique en le faisant cohabiter avec l’art occidental, principalement l’Art déco mais aussi l’art moderne. Installés à Thoiry, à proximité de Paris, ils font visiter leur showroom tous les jours sur rendez-vous.

Annie Minet et Luc Merenda co-organisent avec Asia Art Center une exposition culturelle Place Vendôme de 12 sculptures monumentales de l’artiste Li Chen, présentées pour la première fois en France en septembre 2013.

INFORMATIONS PRATIQUES Le PAD (Paris Art+Design)
Événement fondateur pour les amateurs et collectionneurs internationaux d’art et de design, le PAD accueille au sein du jardin des Tuileries une sélection toujours plus exigeante de galeries. Depuis 17 ans, le PAD réinvente le cabinet d’amateur et l’éclectisme. Chaque édition évolue pour faire naître des dialogues inédits entre l’art moderne, le design historique et contemporain.
PARIS 1ER. TUILERIES. Esplanade des Feuillants. 234, rue de Rivoli. METRO Tuileries. STAND 17

Galerie Minet-Merenda 6, rue des Vignettes. 78770 Thoiry
+33 1 30 88 54 55 // +33 6 09 32 67 57
contact@asie-antiquites.com // www.asie-antiquites.com

vendredi 22 mars 2013

GUILLAUME LEBELLE / PAN JUSQU’AU 11 MAI / GALERIE CHRISTOPHE GAILLARD

Dans sa deuxième exposition personnelle à la galerie Christophe Gaillard, Guillaume Lebelle présente pour la première fois deux sculptures et une série de 4 photographies, aux côtés de grandes toiles et de grands collages.
En presque dix années, soit depuis sa dernière exposition à la Galerie Jean Fournier en 2004, Guillaume Lebelle n’a que rarement présenté son travail. Sa première exposition personnelle à la Galerie Christophe Gaillard date de 2010, et l’exposition de ses dessins a eu lieu en 2007, à l’occasion de l’hommage rendu à Jean Fournier au Musée Fabre à Montpellier.
Ce repli a permis à Guillaume Lebelle d’explorer, plus librement sans doute, différentes directions, sous un mode expérimental.

«Guillaume Lebelle fait entrer le monde dans sa peinture par des chemins troubles et indicibles, dont il ne cherche pas à maitriser les effets. Peut-être aime-t-il se perdre à lire dans les librairies au gré de hasards choisis à cause de cela? Nonobstant une culture littéraire solide, qui dessine une cartographie incluant aussi bien Nicolas Gogol, Christophe Tarkos et Andrea Zanzotto, ici évoqués dans certains titres des tableaux, il aime à se laisser saisir par la perplexité face à une langue qu’il ne connait pas, à l’image des calligraphies chinoises. Et quelle meilleure définition de l’abstraction que cette perplexité-là. Le tableau comme caisse de résonance où se donnent rendez-vous des sources qui n’étaient pas faites pour se rencontrer (comme certaines sonates de Haydn au montage imprévisible)».
Extrait du texte du critique et commissaire d’exposition Pedro Morais

«A voir le travail de Guillaume Lebelle, on a le sentiment presque physique d’un flirt; chaque centimètre de peau, chaque pli, chaque grain, cicatrice, aspérité et commissure est abordé par une alternance de retenue et de voracité impudique. L’artiste semble s’engager sur la toile du bout des doigts ; ne faisant que les effleurer, les caresser, tracer de ses ongles des chemins de rigole où le fluide de la peinture se déverse, ravine et serpente pour devenir tâches et traits de couleur. Il empoigne petits et grands formats avec précision, entretenant avec eux une relation parfois tumultueuse, qui pourrait passer pour de la manie, mais qui est toujours entière et fine». Extrait du texte du critique Benoît Blanchard sur l’exposition «Pan».

GUILLAUME LEBELLE
Né en 1972, il est diplômé de l’école nationale supérieure des beaux-arts de Paris.

LA GALERIE CHRISTOPHE GAILLARD
Située dans le quartier du Marais à Paris, la Galerie Christophe Gaillard soutient une nouvelle génération d’artistes contemporains remarqués par la critique: Hélène Delprat, Thibault Hazelzet, Fabian Knecht, Isabelle Le Minh... Elle a notamment révélé l’artiste japonaise Chiharu Shiota, dont elle a organisé les premières expositions personnelles en France.
La galerie travaille également à mieux faire connaître des artistes avant-gardistes des années 1960, tels Daniel Pommereulle, dont elle représente l’estate, Arnulf Rainer ou Tetsumi Kudo.

La Galerie Christophe Gaillard a participé en 2012 aux Foires Internationales: Artissima Turin, ABC Berlin et Paris Photo.

La Galerie Christophe Gaillard présentera Guillaume Lebelle à Art Paris au Grand Palais du 28 mars au 1er avril (stand C12)
Artistes présentés: Véronique Boudier, Hélène Delprat, Pierre Dmitrienko, Thibault Hazelzet, Knap Kassia, Fabian Knecht, Guillaume Lebelle, Daniel Pommereulle, Arnulf Rainer.

Galerie Christophe Gaillard. 12, rue de Thorigny. 75003 Paris +33 1 42 78 49 16 / www.galeriegaillard.com

jeudi 21 mars 2013

Reminder : TONIGHT "Rock" Exhibition / Warhol - Young

© Russell YoungThe Who, 2008, Acrylic paint screen print on canvas
© Courtesy Galerie Taglialatella
Avec l’exposition « Rock », la galerie Taglialatella se place en observateur des relations qui ont pu exister entre Pop Art et rock’n’roll et dévoile une série d’œuvres emblématiques du maître du Pop Art : Andy Warhol et de l’un de ses dignes disciples contemporains : l’artiste britannique Russell Young.
La galerie accorde également une attention particulière aux célèbres pochettes de disques d’Andy Warhol.

Chacune de ces œuvres présentées témoigne de la représentation artistique de l’un des genres musicaux les plus emblématiques de la seconde moitié du XXe siècle à travers l’un des courants artistiques non moins emblématiques de cette même période : le Pop Art.
Car si les deux courants apparaissent sensiblement au même moment – fin des années 1950, début des années 1960 – sans que l’on sache exactement dans quel ordre et se mêlent parfois, le Pop Art n’a, au départ, rien en commun avec le rock, trop hésitant et imprécis pour servir de support à la représentation artistique. Même l’Elvis de Warhol (1964) représentant le chanteur en cowboy a d’ailleurs plus à voir avec le cinéma qu’avec le rock.

En effet, le phénomène de Rock Star est assez éloigné des préoccupations et inspirations majeures des artistes de Pop Art de façon générale. La Rock Star demeure moins symbolique que les objets du quotidien révélateurs d’une consommation de masse et incarne moins de docilité que les icônes glamour que sont Marilyn Monroe ou Liz Taylor. En revanche l’extraordinaire pouvoir qu’a le rock de métamorphoser en un temps limité de bons garçons en super Rock Star, stimule particulièrement l’intérêt d’Andy Warhol.

L’exposition « Rock » présente des œuvres qui témoignent d’une époque particulière, aussi diverses par la variété de leurs styles que fascinantes par leur capacité attractive. Elle offre au public l’opportunité de pénétrer dans cette multitude d’images détonantes et addictives en conciliant à la fois émotion, connaissance et pure contemplation esthétique.

Par ce choix, la galerie souhaite se pencher sur un aspect commun aux deux courants. En effet, Rock et Pop Art ont été et sont encore aujourd’hui considérés comme le véhicule spécifique d’une contre-culture. Le premier a été porté par une jeunesse occidentale trop à l’étroit dans le carcan moral, politique et culturel de ses aînés allant même jusqu’à provoquer un mouvement de rejet de la bonne société américaine. Le deuxième symbolise pour sa part une stigmatisation et une dénonciation de la culture populaire, notamment de la consommation de masse.

L’exposition rend hommage aux légendes du rock des années 1960 aux années 1980 et restitue la fougue et l’énergie bouillonnante de ces musiciens qui ont bâti l’histoire de cette musique. Elle fait revivre l’ambiance, la sueur, l’émotion et les guitares volubiles de ces scènes de concert mythiques et donne au rock et ses acteurs un caractère d’immortalité.

La galerie Taglialatella, fondée et dirigée par Nadège Buffe et Paul-Gabriel Sauvage est l’unique galerie française spécialisée en Pop Art à proposer une collection aussi importante tant par la rareté des artistes proposés que par la diversité de sa sélection: Andy Warhol, Keith Haring, Tom Wesselmann, Jim Dine ou encore Jean-Michel Basquiat, Robert Indiana, Mel Ramos, Burton Morris, Russell Young … Forte d’une collection muséale permanente de plus de 500 œuvres, la Galerie Taglialatella constitue la référence en Pop Art en Europe et en Amérique de Nord.

« Rock »
Du 22 Mars au 5 Mai 2013
Andy Warhol - Russell Young

www.djtfa-paris.com

mardi 19 mars 2013

EXPOSITION « ROUGE » DE VIRGINIE SAINT-JEANNET AU NODE

PENDANT LA SEMAINE DIGITALE A BORDEAUX 
Du 27 mars au 1er avril 2013.

 ART, PHOTO, VIDEO, MUSIC & WINE
Pendant la Semaine Digitale, Virginie Saint-Jeannet présentera l'exposition ROUGE au Node, espace dédié au numérique et aux nouveaux medias, situé en plein coeur du centre-ville historique de Bordeaux. Graphiste et styliste confirmée, Virginie Saint-Jeannet utilise le web pour promouvoir sa sensibilité artistique autour de la couleur rouge. Cette exposition couleur passion mettra en lumière son magnifique blog de curation d'images "ROUGE".

  > INVITATION au VERNISSAGE / HAPPENING : mercredi 27 mars de 18H à 22H.

 Un happening / vernissage original pendant lequel vous découvrirez l'intégralité de sa curation composée de plus de 2000 images projetées sur deux écrans géants, mais également des compositions et collages intéractifs, des tableaux numériques animés et sonores, des petits albums thèmatiques ..

Pendant le vernissage, les invités pourront garder un souvenir de la soirée en participant au photo booth ROUGE, projection d'images "ROUGE" photographiées en live sur les invités.

Découvrir le blog ROUGE : http://rougevie.tumblr.com/
Découvrir le Node : http://bxno.de

Infos pratiques :

Exposition ROUGE - du 27 mars au 1er avril 2013 - Ouverture du lundi au vendredi de 9h à 18h sans interruption. NODE - 12 rue des Faussets - 33000 Bordeaux

Virginie Saint-Jeannet : Originaire de Bordeaux, son diplôme des Beaux-Arts en poche, Virginie Saint-Jeannet s'installe sur Los Angeles pour poursuivre sa carrière dans le monde du graphisme et de la mode.
Depuis bientôt deux ans, à nouveau bordelaise, Virginie a créé un blog ayant pour thème la couleur rouge, images issues de la pop culture, rock, cinéma, mode, érotisme, vin, street art... Une couleur qui représente pour cette artiste, la vie, la passion, le désir, le mouvement, la révolte.

mercredi 13 mars 2013

StudioPrisme presente : Un certain regard Sur le cinema

Le studio prisme & le festival itinérances vous proposent une exposition photographique de Jean-Marie LEROY

 Vous vous rappelez les photos agrafées derrière les vitrines à l'entrée des cinémas? Non. A l'époque, François Truffaut les volait et collait dans sa chambre le portrait de Brigitte Bardot ou celui de John Wayne. Photos de plateau, photos de promotion. Elles nous aguichent, attisent nos fantasmes, nous donnent envie d'entrer dans les salles. On entend souvent sur un plateau de cinéma : « la photo fait partie du plan ! ».

Silence. Respect pour le photographe invisible jusque-là et qui prend place soudain au premier plan. Le photographe de plateau est dehors et dedans à la fois. Au coeur du film et à sa marge. Il lui suffit d'être aux aguets, de percevoir un univers, de comprendre une lumière, d'être en connivence avec un acteur pour transcender le quotidien d'un tournage. Nous, techniciens, restons englués dans notre concentration. Jean-Marie Leroy fait partie de ces invisibles qui saisissent et désignent l'indiscernable. La photo de Jean-Marie n'est pas le détail « people » ni le « off » d'un tournage. Elle est juste la sublimation d'un instant de création. 

Galerie du studio prisme MARDI / MERCREDI DE 11H À 17H & DU JEUDI AU SAMEDI DE 14H À 19H 04 30 38 40 92 / www.studioprisme.com / contact@studioprisme.com

samedi 2 mars 2013

CHRISTOPHE CARTIER / IT WAS A VERY GOOD YEAR EXPO & FILM / GALERIE DETAIS / 05-30 MARS 2013

Le mouvement de l’autofiction ramène à soi et risque de se terminer dans le bégaiement. Mais ici, Christophe Cartier laisse sortir les images fondatrices, et elles parlent.

Au départ de cette exposition, il y a d’abord un film: It was a Very Good Year in the Eighties. Par une succession d’images fixes et de fondus enchainés en noir et blanc — images poignantes, parfois érotiques, parfois désespérées, toujours en quête de leur inscription dans le monde —, ce film évoque la période d’adolescence tardive où l’on se cherche, où les figures du possible et de l’impossible se dressent de tous côtés. Et puis, vingt ans après, nous savons que c’était notre jeunesse.

 Nous voici donc au-delà, à l’endroit où nous pouvons situer le film dans la perspective de ses images fondatrices, images que Christophe Cartier fait émerger en retravaillant à l’encre certaines photos, et les nouveaux dessins blancs ou noirs qui apparaissent se posent comme des traces de réminiscence ou d’oubli.

Un travail inédit alliant peinture, dessin et photographie, dans une scénographie où «moi» s’échappe à lui-même.
Pierre Furlan

 VERNISSAGE: mardi 5 mars, à partir de 18h

 GALERIE DETAIS: 10, rue Notre-Dame de Lorette. 75009 Paris

Du mardi au samedi : 10h30-12h30 et 14h-18h (dans la cour) et sur rendez-vous 01 45 26 40 54 / 06 34 29 40 82 / www.galerie-detais.com