mercredi 28 mars 2012

«Causses et Cévennes, paysage culturel de l'agro-pastoralisme méditerranéen », du 27 mars au 16 mai 2012 à la Maison de la Lozère

Les Causses et Cévennes exposés à Paris

  
Les Causses et les Cévennes présentent, dans un cadre naturel grandiose, une diversité de paysages méditerranéens façonnés par l'homme depuis des millénaires : plateaux calcaires des grands causses (Méjean, Sauveterre, ...) entaillés par des gorges (Gorges du Tarn, Gorges de la Jonte, ...) ou des vallées (Vallée du Lot), relief tourmenté des Cévennes schisteuses, du Mont-Lozère et de l'Aigoual granitique.

Jusqu'au 16 mai, la Maison de la Lozère à Paris accueille « Causses et Cévennes, paysage culturel de l'agro-pastoralisme méditerranéen ». Une exposition du Conseil général réalisée à partir des clichés du photographe Patrick Botté, pris dans le cadre du récent classement d'un tiers de la Lozère au Patrimoine Mondial de l'Unesco.

Pour le visiteur, c'est une diversité d'images magiques nées de l'empreinte de la roche et aussi de la domestication de cette nature exceptionnelle par les paysans cévenols ou caussenards qui pratiquent de tout-temps l'agro-pastoralisme.

Nous invitons le public, grâce à cette exposition, à un voyage de découverte à travers des paysages de Lozère remarquables et remarqués par l'Unesco.

Entrée Libre
Du 27 mars au 16 mai 2012 de 9h30 à 11h30 et de 12h30 à 18h30.
Maison de la Lozère 1bis Rue Hautefeuille, Paris 6

jeudi 22 mars 2012

Exposition - RÉMUS BOTARRO, « Il vient du futur »

Du 22 mars au 28 mai 2012

« Le rêve agit lorsque l'on s'y attend le moins. Son espace d'action n'a ni lieu, ni calendrier. Il se trouve qu'il est venu se matérialiser dans une rencontre entre deux destins croisés
Et deux sensibilités artistiques ; rencontre entre l'artiste Rémus Botarro et la galeriste Rose Serra.

L'art médium des émotions les plus rares.
« Les œuvres de Rémus Botarro m'ont parlées alors que je ne l'avais même pas rencontré. J'ai instantanément décidé de l'exposer, c'est mon choix. À travers ses sculptures, il est possible à tout à chacun de toucher la preuve de l'existence des mondes visibles et invisibles. Il est possible de s'émouvoir, de caresser le cœur de tous ces « éléments ». Grâce à un travail authentique entamé depuis le début de son existence, ses œuvres réussissent à cristalliser la recherche de la compréhension de l'univers, du rêve donc.
Il dit ce qu'il fait et son œuvre fait ce qu'il dit.»
Rose Serra.

A l'occasion de cette exposition, et compte tenu des savoirs de Rémus Botarro, de ses recherches et de son implication intégrale dans le monde de l'art, la galerie Labworlds présentera des œuvres majeures de l'histoire de la sculpture dans sa chronologie:

-         « Portrait de Gustave Mahler », bronze, Rodin
-         « Le Coq », marbre et bois, Brancusi
-         « Portrait d'Eileen Lane », Brancusi
-         « Autoportrait », photographie argent et encadrement bois sculpté, Brancusi
-         « Portrait de Mademoiselle Pogany », Brancusi
-         « Autoportrait », Brancusi
-         « Portrait de fille », Modigliani

Légendes et copyrights des visuels ci-dessus :
La Porte de Jérusalem - 2011 Paris (Moulage) / Sculpture en bronze sur socle en bois du Moyen-âge / H.180 cm © Rémus Botarro, courtesy Galerie Labworlds.
Melle Garcia - 2008-2009 Autriche / Peinture, huile sur toile © Rémus Botarro, courtesy Galerie Labworlds.
L'Esprit du bronze - 2011 Autriche / Sculpture en bronze / H.180 cm © Rémus Botarro, courtesy Galerie Labworlds.
Pegasus - 2010 Autriche / Sculpture en bronze peint sur socle en bois / H.35 cm © Rémus Botarro, courtesy Galerie Labworlds.
Cyber Vénus - 2009-2010 Autriche / Marbre, acier sur socle en bois © Rémus Botarro, courtesy Galerie Labworlds.


A propos de l'artiste :

RÉMUS BOTAR BOTARRO, artiste peintre et sculpteur roumain, né le 28 mai 1946 à Abrud, Alba, dans le nord de la Roumanie.

Suite au divorce de ses parents, Rémus Botarro est élevé par ses grands parents et bénéficie de l'éducation rigoureuse de son grand-père, ancien militaire autrichien.
C'est durant ses études au collège en 1957, qu'il rencontre le médecin Orban Elemer, ami de son père. Une rencontre qui va être déterminante pour lui. Elemer lui fait découvrir les poètes latins et nippons, les grands artistes français et italiens, et lui ouvre sa bibliothèque personnelle. C'est ainsi que Botarro écrit ses premiers poèmes à l'âge de onze ans. Des textes souvent illustrés par de surprenants dessins qu'il réalise lui-même.

Très vite, il commence à s'intéresser à la sculpture et réalise ses premiers essais en bois de châtaignier et en plâtre.
Durant ses études au lycée, passionné, Botarro apprend la sculpture avec pour professeur l'artiste Gheza Vida, Maître sculpteur roumain, membre de l'Académie roumaine. A ses côtés, il exécute ses premières vraies œuvres.

En 1968, il commence des études aux Beaux Arts tout en étant inscrit à l'Université Dalles qu'il abandonne assez vite pour continuer son apprentissage artistique dans l'atelier Baba avec le Maître Corneliu Baba, le plus grand professeur et peintre-philosophe de l'époque. Là, il développe ses techniques d'expression et commence à exposer.

Dés 1983, après une série d'expositions à grand succès, Botarro se fait remarquer par les médias et la critique. Il est présenté par les experts et les historiens d'art tels que Brezianu, Cosma, Geist, Ionescu ou encore Gheorghe comme « un phénomène dans les arts plastiques » et considéré comme successeur artistique et continuateur de l'art de Constantin Brancusi.

« Botarro est un innovateur qui pousse les représentations sculpturales jusqu'à une nouvelle étape dans l'univers artistique. » Barbu Brezianu, historien d'art, expert de Brancusi.

Parallèlement à son art, Botarro s'engage aux côté de personnalités de la vie culturelle, scientifique et politique européenne et est co-fondateur de la Fondation Franco-Roumaine Internationale (FFRI), ONG spécialisée dans la jeunesse, la culture et le sport. Il en devient Président exécutif.

Entre 1994 et 1997, il accomplit à travers sa mission à la FFRI, la restauration des tombeaux des héros français tombés en Roumanie ainsi que la restauration de plusieurs monuments aux soldats français enterrés sur le sol roumain. Il devient alors, l'instigateur de nombreux échanges entre la France et la Roumanie.

En 1998, il est à l'origine du rapatriement en France, des héros français tombés en Roumanie.

En 2001, il est l'initiateur du parc Constantin Brancusi de Bucarest.

Aujourd'hui, Rémus Botarro par son talent et ses productions artistiques est un symbole de l'identité culturelle européenne et expose ses œuvres dans de nombreuses capitales européennes et de nombreux pays, à travers le monde. Ses sculptures qui ont la profondeur de Gérôme Bosch et la fantaisie de Salvadore Dali, le font regarder comme un artiste majeur.
La substance de base qu'il utilise dans son travail est nécessairement le rêve : « Un composé naturel parfait, d'origine cosmique, lequel se matérialise en formes sculpturales visibles, par le concours laborieux de l'artiste ». Pour lui, l'art commence là où les rêves se matérialisent en magistrales configurations eurythmiques - en œuvres touchables réalisées en marbre, bronze ou bois. 
 
 
LABWORLDS / 6, rue de l'Exposition Paris 7ème / +33 9 67 04 39 28 / contact@labworlds.com  / www.comcie.com
Du mardi au samedi, de 13h00 à 19h00 / Dimanche et lundi, sur rendez-vous uniquement

mercredi 21 mars 2012

Gustave Doré (1832-1883), un peintre né

   Gustave Doré, L'Enigme, détail, Paris, musée d'Orsay
Exposition temporaire du 12 mai au 16 septembre 2012


COMMISSARIAT SCIENTIFIQUE :
Magali BRIAT-PHILIPPE, conservatrice du patrimoine, responsable du service des patrimoines du Monastère royal de Brou à Bourg-en-Bresse
Philippe KAENEL, professeur titulaire d'histoire de l'art, Lausanne
Benoît-Henry PAPOUNAUD, administrateur du monastère royal de Brou
Jérôme PONTAROLLO, historien de l'art.

            

             Le monastère royal de Brou a souhaité mettre à l'honneur la peinture de Gustave Doré, car  contrairement à son œuvre d'illustrateur, l'œuvre peint de l'artiste passe volontiers pour secondaire et est peu connue. Pourtant plus de 200 peintures sont recensées (dont 5 conservées dans les collections du musée), et attestent d'un artiste inspiré et visionnaire. Inclassable car prolixe et libre, les oxymores de « romantique réaliste » ou de « réaliste visionnaire » peuvent le qualifier. Mais Doré se positionne au delà des courants du xixe siècle, pour mieux les transcender et traduire l'humanisme de son siècle. Passionné par l'imaginaire littéraire et mythologique, par le sentiment romantique de la nature, ou encore par le mysticisme de la foi, Gustave Doré confessait lui même en 1873 : "J'illustre aujourd'hui pour payer mes couleurs et mes pinceaux. Mon cœur a toujours été à la peinture. J'ai le sentiment d'être né peintre."

              Né à Strasbourg, c'est à Bourg-en-Bresse que Gustave Doré découvre la peinture entre 1843 à 1847. Enfant prodige, il publie en 1845 à l'âge de 13 ans ses premières lithographies. Un témoignage rapporte qu'alors qu'il dessine déjà, les parents de son camarade Charles Robin lui offrent une boîte de couleurs : le peintre est né.

              Installé en 1847 à Paris, où il commence sa carrière d'illustrateur dans le Journal pour Rire de Philipon, Gustave Doré connaît très tôt la notoriété avec la parution des œuvres de Rabelais en 1854. Mais il n'en oublie pas pour autant sa passion pour la peinture, au contraire. Il travaille la nuit à ses planches d'illustrations pour pouvoir peindre le jour. Il s'inscrit aux cours de Henri Scheffer, poursuit ensuite sa formation chez Dupuis, sans toutefois suivre un apprentissage académique. Doré présente une première œuvre au Salon de Paris en 1850, Les pins sauvages. Les critiques sont mauvaises, tant il est vrai que les prix distribués étaient pour grande part attribués par des peintres qui détestaient ceux qui ne faisaient pas partie des académies existantes. Suivent de nombreux envois au Salon, jusqu'en 1882, mais son talent de peintre ne sera jamais reconnu en France de son vivant. En 1867 Gustave Doré ouvre à Londres la Doré Gallery et rencontre enfin le succès en Angleterre.

              Son œuvre peint porte sa marque, originale et personnelle. Il met sa technique « au service d'une imagination géniale ». Le paysage, dans sa dimension pittoresque et surtout sauvage et sublime, abonde dans son œuvre, tout particulièrement le paysage de montagne. Il sert aussi à traiter les sujets d'imagination. Mais c'est la peinture religieuse qui va rapidement devenir le domaine de prédilection de Doré, surtout à partir de l'édition de sa Bible en 1866. Il s'impose dans ses immenses toiles qu'il multiplie sur la vie du Christ, dont il considère certainement le drame comme la plus exacte et vivante figure de celui de l'humanité. Car il est aussi un témoin fidèle de son époque. À Paris, Londres, ou en Espagne, il est frappé par la pauvreté urbaine, et la description sociale qu'il en fait est exaltée par leur romantisme intemporel. Il fera part des événements de 1870 dans toute leur cruauté, non sans misanthropie. Les trois grisailles « Souvenirs de 1870 » dont la réunion sera exceptionnellement découverte, sont des compositions allégoriques, dont les détails sont traités avec réalisme.

              Retracer l'ensemble de la carrière de peintre de Gustave Doré, et en rassemblant plus de 75 œuvres, permet enfin d'évaluer son apport dans l'art pictural du xixe siècle et de découvrir pour la première fois rassemblés en France des tableaux inédits. Ce panorama, souhaité le plus complet possible, offre à cet artiste multiple un immanquable hommage.

Cette exposition fait écho à l'événement culturel et artistique 2012 de la Ville de Bourg-en-Bresse Illusions fantastiques et la Saison 2012 du Centre des monuments nationaux Monuments et imaginaires.

vendredi 16 mars 2012

Vernissage 'Héritages Surréalistes' 30 mars - Dorothy’s gallery

Dorothy’s gallery, American Center for the Arts en partenariat avec la Fondation Portugaise Bissaya Barreto, Santiago Ribeiro et Liba Ws, vous invitent au vernissage le 30 mars, de 16h à 18h pour la presse(18h à 21h, tout public), de l’exposition « Héritages Surréalistes ».
Peintures, collages, sculptures, photographies, récital de poésies chantées, lecture spectacle, vous permettent de plonger dans l’expression du courant surréaliste sous toutes ses formes.

Héritages Surréalistes
France, Portugal, États Unis, Russie, Vietnam, Lettonie



30 mars – 15 avril 2012
Vernissage le 30 mars, 16h-18h (presse), 18h-21h (tout public)
18 artistes de 6 pays différents dans la lignée du courant surréaliste.
Ce dialogue pictural et sonore entre artistes de toute nationalité fait le tour du monde dans les galeries et musées et démontre que la flamme du surréalisme n’est pas éteinte.
 Les visiteurs embarquent pour un voyage saisissant dans le monde sans frontières des artistes qui continuent, comme les surréalistes autour d’André Breton, à explorer la tradition des rêves et des songes.

Surréalisme : rêve, instinct, liberté de vivre, refus des conventions
« Le Surréalisme, né après la première Guerre Mondiale, se caractérise par son refus de toute convention sociale, logique ou morale, qui donne la primauté au rêve, à l’instinct, au désir, à la révolte, à la liberté de vivre.
C’est aussi le mouvement le plus tourné vers l’imaginaire qu’exaltent toutes les formes artistiques et littéraires. Le surréalisme portugais y trouve sa marque de fabrique, dans le lien inextricable entre poésie et peinture. Surréalisme par la parole, la peinture, la sculpture continue pour tous, comme la vie – insistante, concrète, quotidienne, réelle et cette exposition à Paris, berceau de ce mouvement, est la preuve que «le surréalisme international», est toujours vivant.» 
Maria Fernanda Pinto, journaliste portugaise, Paris, 06/01/2012

Sur le thème de cette exposition « Héritages surréalistes », dans l’optique de dialogue et d’ouverture à toutes les formes d’art contemporain, dorothy’s gallery et American Center for the Arts proposent des évènements culturels

5 avril, 19h-20h30 - Lecture-Spectacle – 12 euros
L’Âme métisse, de Catherine Pont-Humbert
avec Vincent Byrd Le Sage (le Peintre), Sarah Jalabert (la Femme), Sonia Masson (la Mémoire)

En 9 tableaux, trois personnages, apportent leur version de l’histoire de Wifredo Lam et de sa peinture : l’artiste lui-même, qui au cours d’une introspection restitue son parcours dans le XX e siècle, la Femme, dans une recherche esthétique et émotionnelle, et la Mémoire, qui joue le rôle du passeur et du révélateur.

13 avril, 19h-20h30 – Récital poésies chantées – 12 euros
En compagnie d'Aimé Césaire
avec Bernard Ascal (texte et chant), Fabian Daurat (guitare)
La genèse du Mouvement de la Négritude
Extraits de l’œuvre majeure d’Aimé Césaire « Cahier d’un retour au pays natal » alliés aux poèmes de ses amis Léon Gontran Damas et Léopold Sédar Senghor.

American Center for the Arts, dorothy’s gallery
Ouvert à toutes les formes d’art contemporain
Une galerie d’art et un centre culturel dans un même espace pour mieux découvrir et expérimenter l’art contemporain sous toutes ses formes : arts plastiques, musique, danse, théâtre...
Rapprocher la France et les Etats-Unis mais également tous les pays du monde, permettre aux artistes d’élargir leurs réseaux et de traverser les frontières tel est le souhait de Dorothy Polley, présidente et fondatrice.
Nos missions
L’échange d’artistes avec divers associations, centres culturels en France et à l’étranger, pour permettre aux artistes d’exporter leur travail et d’être révélés
L’organisation d’expositions d’art contemporain au sein de dorothy’s gallery et hors les murs, présentant côte à côte de jeunes artistes talentueux et des artistes de renom, américains, français et internationaux.
La programmation d’évènements culturels sous toutes les formes d’art contemporain mais également concernant des sujets sociaux et politiques : cycles de lectures, performances, concerts, pièces de théâtre, projections, soirées d’artistes, conférences…
La démocratisation de l’art grâce a l’organisation de visites commentées des expositions pour tous les publics : écoles, personnes handicapées, retraités, habitants de quartiers défavorisés.
INFORMATIONS PRATIQUES
dorothy’s gallery, American Center for the Arts
27 rue Keller, 75011 Paris
01 43 57 08 51 dorothysgallery@gmail.com
mer-sam 13h-19h, mar&dim 16h-19h
 

lundi 12 mars 2012

« Les racines du racisme dévoilées » à Saint-Ouen

[Exposition internationale d'affiches du 19 au 24 mars 2012]

Après Groningen aux Pays-Bas et avant Varsovie en Pologne, Saint-Ouen accueille, du 19 au 24 mars 2012 l'exposition du 2ème Festival international de l'affiche de Ljubljana en Slovénie, dont le thème est la lutte contre les préjugés racistes.

Cette présentation exceptionnelle en France permet de découvrir les œuvres d'étudiants et d'étudiantes de quatre écoles supérieures de graphisme en Europe qui se sont mobilisés pour faire connaître et faire comprendre les racines du racisme ; y sont associées les productions de graphistes de renommée internationale tels qu'Alex Jordan, Michal Batory, James Victore ou Luba Lukova.

A l'occasion de la Semaine mondiale de lutte contre le racisme et les discriminations, plus de 150 affiches seront présentées dans quatre lieux publics de la ville : le Cap'J, le Centre administratif, la Médiathèque Persépolis et la Maison de quartier du Landy*.

Ces affiches allient avec talent et pédagogie une expression artistique originale au service de convictions fortes.

Les discriminations racistes et les préjugés ont la vie dure et méritent une constante attention. Ville de culture et des cultures, riche de ses diversités, Saint-Ouen est engagée au quotidien dans ce combat et porte au cœur de son projet de ville le « vivre ensemble », où chaque Audonien tient la même place.

*4 lieux pour 150 affiches :

CAP'J - 42, avenue Gabriel-Péri, du 19 au 23 mars (lundi, mardi, jeudi et vendredi de 16h30-19h ; mercredi 14h30-19h).

Centre Administratif et Social - Place de la République, du lundi 19 au vendredi 23 mars (tous les jours sauf jeudi matin, de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h, le samedi de 8h30 à 12h).

Médiathèque Persépolis - Place de la République, les 20, 21, 23 et 24 mars (mardi et vendredi 16h-20h, mercredi et samedi 10h-19h)

Maison de quartier du Landy - 37, rue du Landy du mardi 21 au samedi 24 mars (tous les jours sauf le jeudi matin)