mardi 27 mai 2014

EXPOSITION "MA TERRE VUE DE L'ESPACE"

La planète bleue comme vous ne l'avez jamais vue grâce aux satellites et aux photos de Yann Arthus-Bertrand

Du 7 juin au 30 décembre 2014, Eau de Paris présente au Pavillon de l'eau "Ma Terre vue de l'espace", une exposition conçue avec la fondation GoodPlanet de Yann Arthus-Bertrand. "Ma Terre vue de l'espace" invite le visiteur à voir le monde à travers deux points de vue : une série d'images satellites vertigineuses couplées aux photographies aériennes de Yann Arthus-Bertrand. Ces associations permettent d'obtenir de précieux renseignements sur l'évolution de notre environnement, qu'il s'agisse de constater l'étendue et la rapidité du réchauffement climatique ou encore de l'ampleur de la déforestation ces dernières décennies.

Une exposition présentée par Eau de Paris avec la Fondation GoodPlanet

L'exposition s'appuie sur l'ouvrage jeune public "Ma Terre vue de l'espace" de la Fondation GoodPlanet publié en février 2014 (Éditions De La Martinière Jeunesse). Elle s'adresse d'abord aux enfants à partir de 8 ans mais est adaptée à tous publics. Avec un focus particulier sur l'eau, les visiteurs redécouvrent son rôle dans notre histoire, notre quotidien et constatent à quel point elle est précieuse.

L'association des photographies aériennes de Yann Arthus-Bertrand prises à une altitude de quelques dizaines voire centaines de mètres, aux images satellite d'Airbus Defence&Space prises parfois à des centaines de kilomètres de haut, offre un regard original sur le cycle de l'eau tel que nous le connaissons à travers :

· La fonte des glaciers et le changement climatique
· Les forêts et les grands cycles naturels
· Les grandes civilisations et leur usage de l'eau
· L'eau au service de l'agriculture qui nourrit le monde
· Les océans, véritable poumon de la planète

Chacune de ces grandes thématiques est expliquée à l'aide d'une installation pédagogique à manipuler pour découvrir les glaciers du Kilimandjaro, la vie des forêts du Rio Beni, les civilisations menacées de la cité d'Angkor, la folie des Hommes sur la mer Morte ou bien encore la grande barrière de Corail. En prenant de la hauteur sur les grands enjeux écologiques liés à la ressource en eau, photographies et manipulations permettent aux visiteurs de partager l'espace d'un instant l'émotion ressentie par tous les astronautes en découvrant notre planète bleue.

Un week-end festif à l'occasion des « Journées de la mer »

Cette exposition sera ouverte au public au Pavillon de l'eau d'Eau de Paris à l'occasion des « Journées de la mer ». Un week-end festif et convivial y est organisé en effet en collaboration avec GoodPlanet les samedi 7 et dimanche 8 juin 2014. De nombreuses animations sont prévues pour toute la famille. Inscrivez-vous sur eaudeparis.fr dans la rubrique "événements".

Samedi 7 juin & Dimanche 8 juin
Ouverture exceptionnelle de 11h à 19h


Visites guidées tout au long de la journée

11h30 Projection familiale Alvin et les Chipmunks 3 & Projection familiale Bob l'éponge, SOS Méduse en danger

15h00 Animation pédagogique pour enfants « L'eau dans le monde »

16h00 Conte musical « Ah ! l'Eau ! » et visite de l'exposition « Ma Terre vue de l'espace » par GoodPlanet

17h00 Projection du film « La soif du monde » suivi d'un débat avec GoodPlanet & Projection du film « Planète Océan » suivi d'un débat avec GoodPlanet

jeudi 22 mai 2014

MICHEL NEDJAR / MOMENTUM (UNE RETROSPECTIVE) GALERIE CHRISTIAN BERST / 23 MAI-12 JUILLET 2014

La galerie Christian Berst présente, du 23 mai au 12 juillet, une rétrospective de Michel Nedjar, l’un des artistes d’art brut les plus montrés dans le monde depuis trois décennies et dont une trentaine d’oeuvres figurent déjà au Centre Pompidou. Outre des oeuvres inédites, la correspondance que lui a adressée Jean Dubuffet sera visible pour la première fois à la galerie.

Michel Nedjar, né en 1947, réalise ses premières poupées (ses «chairs d’âme») avec des chiffons glanés dans le quartier de la Goutte d’Or qu’il recouvre de terre et de sang. Alors âgé de 29 ans, il est vendeur de vêtements aux Puces, et hanté depuis l’adolescence par la disparition d’une partie de sa famille dans les camps d’extermination.

La rencontre de Michel Nedjar avec Jean Dubuffet — qui acquiert immédiatement plusieurs de ses fétiches — le fait basculer du statut de créateur d’art brut à celui d’artiste mais également de dénicheur. Il co-fonde, avec Madeleine Lommel et Claire Teller, l’Aracine qui constitua une importante collection d’art brut, exposée depuis 2010 au LaM.

La rétrospective proposée à la galerie Christian Berst retrace toutes les périodes de la création de Michel Nedjar, y compris celle, historique, dite «de Belleville», en présentant ses poupées — anciennes et modernes —, papiers mâchés, terres cuites, coudrages, peintures et dessins. Un parcours qui illustre comment un homme peut vivre un « moment d’art brut » qui lui révèle, sans qu’il y soit préparé, son destin d’artiste.

Collections : les oeuvres de Michel Nedjar sont entrées dans de nombreuses collections en Europe et aux Etats-Unis dont celle du Centre Pompidou, grâce à la donation Daniel Cordier.

Publication : un catalogue bilingue de 300 pages avec un texte de Stéphane Corréard est publié pour célébrer cette exposition-événement.

Vernissage : jeudi 22 mai de 18h à 21h

Activités de la galerie :
— La galerie participe à l’événement CHOICES du 23 au 25 mai en présentant une oeuvre de Dan Miller à l’Ensba (sous le commissariat Nicolas Bourriaud)», et au JEUDI ARTY le 5 juin.
— Christian Berst est le commissaire du nouveau musée d’art brut qui ouvre ses portes dans l’Oliva Creative Factory, près de Porto (Portugal), le 1er juin.

Galerie Christian Berst. Art brut Paris
Passage des Gravilliers. 10, rue Chapon Paris 3e
www.christianberst.com
Mardi-Samedi de 14 à 19 h

mercredi 21 mai 2014

Nicolas de Staël. Lumières du Nord. Lumières du Sud. 7 juin - 9 novembre 2014

Le musée d'art moderne André Malraux organise, à l'occasion du centenaire de l'artiste (Saint-Pétersbourg, 1914 - Antibes, 1955), une grande exposition intitulée Nicolas de Staël. Lumières du Nord. Lumières du Sud. L'exposition se tiendra du 7 juin 2014 au 9 novembre 2014.

Un sujet inédit : Le paysage dans l'œuvre de Nicolas de Staël

Nicolas de Staël. Lumières du Nord. Lumières du Sud, est la première exposition entièrement consacrée au paysage dans l'œuvre de l'artiste, thème qui représente pourtant plus de la moitié des peintures réalisées pendant les quatre dernières années de sa vie, entre 1952 et 1955.

Dépassant l'opposition entre abstraction et figuration, dans une circulation entre Nord et Sud, Staël se confronte aux paysages et aux lumières de Normandie, d'Ile-de-France, du Pas-de-Calais, mais également de la Provence, de l'Italie et de la Sicile.

Plus d'infos : www.muma-lehavre.fr

lundi 19 mai 2014

Exposition itinérante des collections Factory Graff à Paris : Quand l’univers industriel rencontre le street art

Novateur et inédit en Europe, le concept de Factory Graff réside dans la récupération du mobilier industriel initialement destiné à finir au rebut pour les transformer en œuvre d’art. La marque expose ses collections du 2 juin au 14 juillet dans différents lieux de la capitale.

Factory graff expose dans tout Paris

Afin que le plus large des publics puisse découvrir ces curiosités artistiques qui ont déjà séduit nombre de collectionneurs, les collections de la marque seront exposées et reparties à différents endroits de la capitale et notamment au célèbre Barrio latino. C’est grâce à l’invitation du propriétaire de ce lieu mythique, Francis Champagne (celui-ci avouant d’ailleurs avoir ressenti un véritable coup de foudre pour ces œuvres anticonformistes) qu’une quinzaine d’œuvres seront présentées à partir du 02 juin.

Du vestiaire obsolète à l’œuvre d’art

Le processus de réalisation et de réhabilitation du mobilier industriel passe d’abord par la récupération du mobilier destiné initialement au déchet. Les meubles, essentiellement composés d’armoires vestiaires, sont nettoyés, poncés et traités avant d’être mis entre les mains d’un créateur.

Plusieurs gammes existent déjà. Du street art, le figuratif et le manga, en passant même par une série spécial Albator et jusqu’à l’univers de la mode incarné par l’ex-égérie d’Yves saint Laurent, Rebecca Ayoko. Toutes les collections s’inspirent d’univers artistiques variés grâce à la diversité des illustrateurs ayant collaborés aux ateliers.

A propos de Gilles Galvin, créateur de la marque factory Graff

En 2010, Gilles Galvin, ancien sportif de haut niveau et passionné d’art, crée la marque Factory Graff. La démarche est novatrice, écologique et artistique et sied parfaitement à cet ancien rugbyman de haut niveau et pilote de jet-ski, plusieurs fois consacrés par des titres de champions européens ou mondiaux.

Passionné depuis l’adolescence par la peinture contemporaine, il dira même avoir acheté un tableau avant un frigo, Gilles Galvin investira ses premiers deniers dans des œuvres d’art.

Chef d’entreprise établi en Charente, l’ex champion connaitra une jeunesse difficile et agitée, sa passion et sa curiosité insatiable pour l’art sera son échappatoire et changera sa vision d’un monde qu’il considérait alors brutal et inhumain. L’art sera sa thérapie et le déclencheur de son ascension professionnelle et sportive.

Informations pratiques :

Exposition ouverte à tous et aux heures d’ouverture habituelles des établissements mentionnés, du 02 juin au 14 juillet 2014 dans les lieux suivants :

- Barrio Lattino 46 Rue du Faubourg Saint-Antoine, 75012 Paris
- Restaurant TOI 27 Rue du Colisée, 75008 Paris
- Galerie street art ONEGA 17 rue des Grands Augustins 75006 Paris

Plus d'informations : www.factorygraff.fr

vendredi 16 mai 2014

Exposition Calligraphie Japonaise : Réflexions par Shofu YOSHIMOTO

Il y a une coexistence de délicatesse féminine et d’audace dans la calligraphie d’art de Shofu YOSHIMOTO. La calligraphie combine à merveille le pouvoir expressif des mots et l’impact visuel de la peinture.

Shofu YOSHIMOTO a étudié la langue et culture française a l’université ainsi que la littérature de Yusunari Kawabata. Sa connaissance des oeuvres de Kawabata a permis de développer le thème de Réflexion à travers la symbolique du roman YUKIGUNI.

Au travers de ce roman et de ce thème, et au travers de ses oeuvres, Shofu YOSHIMOTO mène une réflexion approfondie sur les divers équilibres : la forme et le contenu, le signifiant et le signifié, le japonais et le français, le mot et son écriture. Par l’approche de ces contrastes, elle nous invite à réfléchir dans le monde du Pays de neige, (YUKIGUNI en japonais).

Alors qu’elles ont une apparence sereine, ses œuvres remettent imperceptiblement en question plusieurs concepts habituellement communs. Chaque fois que nous les observons, ils nous racontent quelque chose de nouveau. Elles peuvent être appréciées de différentes manières, en s’abandonnant à la douceur des flux de la ligne tracée par la brosse ou en s’émerveillant devant la sobre majesté de l’encre.

C’est ainsi une “Réflexion” entre deux langues et sur le sens entre la symbolique et la réalité, miroirs de l’un et de l’autre.

Shofu YOSHIMOTO a déjà auparavant exposé au Salon d’Automne à Paris, Champs Elysées, et au Japon, et aussi auprès de l’ambassadeur de France au Japon, où elle a pu montré la délicatesse de ses oeuvres.

Ouverture d’exposition en présence de l'artiste samedi 24 Mai, 15h-18h
Du 27 mai au 7 juin 2014

Galerie Yakimono

29 Rue de L'Exposition, 75007 Paris
(Métro Ecole Militaire, Bus: 80, 92, 69, 87)
www.yakimonos.com

jeudi 15 mai 2014

Goya s’expose au Mercure de Bordeaux-Lac

Du 22 mai au 20 juin, Francisco de Goya, peintre et graveur espagnol (Fuendetodos, Saragosse, 1746-Bordeaux 1828) s’expose au Mercure Bordeaux-Lac.

En collaboration avec l’Instituto Cervantes de Bordeaux, centre culturel espagnol, une trentaine de reproductions de gravures réalisées par l’artiste seront exposées dans le salon central de cet établissement rénovée après plusieurs années de travaux. L'art de Goya est celui d'une conscience visionnaire. Le peintre et portraitiste, non moins exceptionnel, ne conquit sa vraie place qu'à partir de 1900, année de la première rétrospective d'une œuvre qui avait influencé tout le xixe siècle.

Les gravures, dont la "Mi-carême" et "Couper la vieille en deux", qui seront montrées au grand public sont celles réalisées par le peintre alors qu’il résidait à Bordeaux. L'absolutisme de Ferdinand VII pousse Goya à quitter l'Espagne. En 1824, il s'installe à Bordeaux, où, vivant parmi les exilés espagnols, il réalise de nombreux portraits, dont la fameuse laitière de Bordeaux, ou celui de l'auteur dramatique Moratin Le Jeune. Il se familiarise aussi avec la lithographie et les gravures.

L’entrée est gratuite. Pour tout renseignement complémentaire merci de contact le Mercure Bordeaux Lac au numéro suivant 05 56 43 36 72

lundi 12 mai 2014

Vu du front - Représenter la Grande Guerre - Du 15 octobre 2014 au 25 janvier 2015

Une exposition présentée par le musée de l'Armée et la Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (BDIC) à l'Hôtel national des Invalides.

Organisée dans le cadre de la commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale, cette grande exposition s'intéressera à la manière dont les contemporains du conflit ont vu, perçu et représenté le front entre le début et la fin de la guerre. Elle mettra en regard les approches des différents fronts : front de l'ouest, front germano-russe, front austro-italien, front du Proche-Orient, des Dardanelles et des Balkans.

Qu'ont vu les combattants de la Grande Guerre ? Qu'en ont-ils montré, et pourquoi ? Qu'ont rapporté de leurs missions au front les artistes engagés dans l'effort de mobilisation ? Comment ces représentations ont-elles circulé vers l'arrière ? Autant de questions qui permettront de mettre en évidence l'absence d'une représentation unique du premier conflit mondial.

La production des avant-gardes artistiques et la propagande illustrée sont actuellement mieux connues du public que les œuvres des soldats ou des artistes missionnés. Or, pour les témoins de la Grande Guerre, montrer la réalité du front et l'expérience des combats a été un enjeu important, que l'exposition se propose de mettre en lumière dans toute sa diversité. En s'appuyant sur le matériau exceptionnel constitué dès le début de la guerre dans ce but de témoignage par les différents Etats belligérants, Vu du front offre pour la première fois au visiteur un tableau d'ampleur des représentations de la guerre par ceux qui l'ont vécue.

Une exposition labellisée mission centenaire

Musée de l'Armée / Bibliothèque de documentation internationale contemporaine

Hôtel des Invalides
129 rue de Grenelle, 75007 Paris
www.musee-armee.fr www.bdic.fr

jeudi 8 mai 2014

Les MARILYN : Andy Warhol, Robert Indiana, Russell Young, Mr Brainwash, Lawrence Schiller….

Exposition du 17 Mai 2014 au 27 Juin 2014

Pour sa nouvelle exposition, la galerie Taglialatella rend hommage à l’icône la plus adulée du XXème siècle : Marilyn Monroe.

La galerie souhaite réunir les œuvres de ses grandes signatures du Pop Art afin de proposer une palette de regards sur la légende énigmatique et controversée.

L’exposition a pour ambition d’illustrer l’incroyable persistance du mythe.

Portée au rang d’icône notamment par Andy Warhol, Marilyn est encore aujourd’hui une figure incontournable de l’identité culturelle américaine, son image empreinte de modernité, demeure présente dans la conscience collective et ce, plus de cinquante ans après sa disparition.

C’est en particulier avec son artiste contemporain phare Russell Young, que la galerie souhaite mettre l’accent sur la puissance attractive et glamour de l’icône en présentant ses derniers travaux : des portraits de la Star aux couleurs vives, sur toile et sur papier parsemés de poussières de diamants.

La galerie Taglialatella, fondée et dirigée par Nadège Buffe et Paul-Gabriel Sauvage est l’unique galerie française spécialisée en Pop Art à proposer une collection aussi importante tant par la rareté des artistes proposés que par la diversité de sa sélection: Andy Warhol, Keith Haring, Tom Wesselmann, Jim Dine ou encore Jean-Michel Basquiat, Robert Indiana, Mel Ramos, Burton Morris, Russell Young … Forte d’une collection muséale permanente de plus de 500 œuvres, la Galerie Taglialatella constitue la référence en Pop Art en Europe et en Amérique de Nord.

Galerie Taglialatella

www.djtfa-paris.com

13 rue de Picardie 75003 Paris

Du mardi au samedi de 11h à 19h

mercredi 7 mai 2014

LES CORSES ET LA GRANDE GUERRE 1914-1918 EXPOSITION AU MUSÉE DE LA CORSE DE CORTE Du 14 juin au 30 décembre 2014

A l'occasion des commémorations du Centenaire de la guerre 14-18, le Musée de la Corse de Corte présente une exposition d'envergure consacrée au sujet inédit des corses durant la Grande Guerre.

LA GRANDE GUERRE AU MUSÉE DE LA CORSE - LES CORSES ET LA GRANDE GUERRE 1914-1918 | du 14/06 au 30/12/2014

Cette exposition réunit plusieurs centaines de documents et d'objets afin de proposer au visiteur une nouvelle lecture de la Grande Guerre et de ses répercutions en Corse.

AU COEUR DES TRANCHÉES, parcours jeune public | du 14/06 au 30/12/2014

Chaque année, le musée décline le thème de l'exposition temporaire pour le jeune public. Une scénographie et une médiation adaptée au jeune public lui permettra d'appréhender cette période historique et d'aborder sereinement l'exposition temporaire.

Et parcourez toute l'histoire corse grâce à l'ensemble des musées et sites de l'île de beauté !

De la constitution de l'île au droit de vote des femmes en 1755, la virtuosité de l'histoire corse s'est en partie écrite de la main d'un homme, Pascal Paoli. Le réseau des musées de Corse, qui tient à transmettre son patrimoine historique au plus grand nombre, compte la maison du « père de la nation corse » parmi les 10 musées et des 4 sites archéologiques de la collectivité territoriale.

IL N'Y A QUE LES CORSES POUR FAIRE AUTANT D'HISTOIRE !

vendredi 2 mai 2014

KOURTNEY ROY / ILS PENSENT DEJA QUE JE SUIS FOLLE LA CARTE BLANCHE PMU 2013 / LE BAL: 30 AVRIL-11 MAI 2014

LES MILLE ET UNE VIES DE KOURTNEY ROY
Née en 1981, Kourtney Roy a grandi dans la démesure et la solitude des immensités enneigées du Canada. Après des études aux Beaux-Arts de Vancouver où elle se rêve peintre, elle découvre la photographie qui «par son potentiel fantastique suggérait une réalité plus trouble, derrière la façade lisse des apparences». Touchée par le génie morbide de Joël-Peter Witkin, et par les mises en scène obsessionnelles et fantasmagoriques du photographe de mode Guy Bourdin, elle se lance dans l’autoportrait et l’autofiction.
Kourtney Roy devient le personnage unique d’un théâtre intérieur et de ses sortilèges. Son corps, artificiellement placé dans un décor naturel, se prête à toutes les énigmes, à mille et une vies travesties, falsifiées.

Pour cette immersion dans l’univers du PMU, Kourtney Roy s’est inspirée de Charles Bukowski et de son obsession des champs de courses. Au spectacle où se concentre toute l’attention, elle a préféré les coulisses dont les décors sans qualité sont plus propices à l’improbable. Elle a ainsi incrusté son corps dans un univers où chaque chose peut être autre chose et n’importe qui quelqu’un d’autre. Où les objets dominent, tour à tour menaçants, envahissants, trop brillants ou trop muets.

Kourtney Roy nous laisse aux prises avec une violence silencieuse et cachée. Car son corps-objet semble le plus souvent éteint, débranché, englouti, avalé. Quand on lui demande si ces personnages lui ressemblent, elle répond: «Ils sont devenus moi, et moi je suis devenue eux».

LA CARTE BLANCHE PMU
Un engagement envers la photographie et la création contemporaine depuis 2009
Avec la Carte blanche, le PMU et le BAL donnent à de jeunes artistes la possibilité d’apporter un regard nouveau et libre sur un univers qui leur était a priori étranger.
Après Malik Nejmi, Mohamed Bourouissa et Olivier Cablat, ce pari est une nouvelle fois gagné avec Kourtney Roy. En se mettant en scène dans ses images, Kourtney Roy se moque sans doute un peu d’elle-même et des autres, mais rend finalement hommage au monde qui l’entoure.
Cette quatrième édition de la Carte blanche PMU, conçue avec LE BAL, nous a donné l’occasion de réunir un jury prestigieux, dont le regard exigeant nous permet d’affirmer un peu plus notre engagement dans la photographie et la création contemporaine et d’ouvrir l’entreprise à de nouveaux territoires d’exploration.
Benoît Cornu, directeur de la communication du PMU

KOURTNEY ROY
Choisie pour la carte blanche PMU 2013 par les membres du jury
Jacqueline d’Amécourt (Présidente du comité d’honneur de l’International Association of Corporate Collections of Contemporary Art), Mohamed Bourouissa (Artiste lauréat de la Carte blanche PMU 2011), Stéphane Couturier (Photographe), Diane Dufour, (Directrice du BAL), Nicolas Ferrand (Collectionneur, Directeur de la publication du Quotidien de l’Art), Emmanuel Fessy (Directeur des Etudes de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts décoratifs), Jean de Loisy (Président du Palais de Tokyo), Philippe Germond (Président Directeur général du PMU), Benoit Cornu (Directeur de la Communication du PMU).

LE PMU
Opérateur de paris hippiques, sportifs et de poker, a souhaité s’associer dès 2009 à la création du BAL, lieu d’exposition dédié à l’image-document, installé dans ce qui fut le plus grand PMU de France jusqu’en 1992
Plus d’information sur : http://carteblanchepmu.fr

LE BAL
6, impasse de la Défense. 75018 Paris
M° Place de Clichy
Parking: 11, rue Forest. 75018 Paris
T. 01 44 70 75 50 / http://www.le-bal.fr
Merc-Vend 12h-20h / Nocturne jeudi jusqu’à 22h / Samedi, 11h-20h. Dimanche, 11h-19h / Tarif 4 euros