lundi 31 mars 2014

THE NEW YORK MOMENT MUSÉE D’ART MODERNE ET CONTEMPORAIN DE SAINT-ETIENNE METROPOLE / JUSQU’AU 18 MAI

NEW YORK À SAINT-ETIENNE
UNE PLONGÉE DANS L’ART CONTEMPORAIN NEW-YORKAIS
DES ANNÉES 1970 JUSQU’À NOS JOURS

À côté d’une présentation de sa collection réputée d’art américain historique des années 1970, le Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Etienne Métropole accueille trois générations d’artistes, trois expositions qui présentent des figures emblématiques de la scène contemporaine new-yorkaise: Joel Shapiro, Peter Halley et dix jeunes créateurs new-yorkais. Ces expositions ont pour ambition de faire découvrir au public tout un pan de l’histoire de l’art américain à travers plusieurs générations d’artistes et différents médiums.

JOEL SHAPIRO
Joel Shapiro est né à New York en 1941 où il vit et travaille. L’exposition présente un ensemble d’oeuvres récentes. Dans la salle centrale, deux sculptures, de grandes dimensions, en bronze (Sans titre, 2002-2007 et Sans titre, 2002-2004) paraissent en équilibre ou en chute. L’une semble continuer à se déployer dans l’espace qui l’environne. La salle attenante, quant à elle, accueille une série de petites constructions architecturales (Sans titre, 2013). Joel Shapiro joue sur le poids, la densité et l’équilibre des matériaux. La relation de l’oeuvre à l’espace est pour lui essentielle.

PETER HALLEY
Artiste enseignant, critique et théoricien d’art, Peter Halley est né à New York en 1953. Il découvre la musique new wave et devient, au début des années 1980, le porte-parole d’une nouvelle abstraction: Neo geo (nouvelle géométrie) par opposition à la Nouvelle Figuration, qui dominait alors la scène internationale. Peter Halley conçoit ses compositions dans un jeu de relations entre ce qu’il appelle les «prisons» et les «cellules». Ces dernières reflètent la géométrisation croissante de l’espace social et son emprise sclérosante sur notre environnement et notre manière de penser.

JEUNES CRÉATEURS À NEW YORK
Cette exposition présente un panorama éclectique de la scène contemporaine new-yorkaise au travers de l’oeuvre de dix jeunes artistes: Daniel Arsham, Brian Belott, Matt Bollinger, Bea Camacho, Davide Cantoni, Paul DeMuro, Amy Feldman, Allison Hawkins, Taylor McKimens, Dean Monogenis.
Ce regard sur l’actualité de la création nous montre la prédilection des artistes pour le dessin et la peinture. En effet, certains médiums comme la vidéo ou la photographie, omniprésents il y a quelques années, semblent aujourd’hui délaissés par les jeunes créateurs. Les artistes exposés puisent dans l’histoire de l’art (notamment dans l’art minimal) et dans la culture populaire de façon indistincte pour utiliser ces références comme de la matière iconographique ou picturale. Jeunes créateurs à New York nous offre une perspective dans laquelle l’art et la culture engagent un dialogue nourri, sans s’embarrasser des hiérarchies traditionnelles.

MUSÉE D’ART MODERNE ET CONTEMPORAIN DE SAINT-ETIENNE MÉTROPOLE
Adresse postale : La Terrasse - CS 10241 - 42 006 Saint-Etienne Cedex 1
www.mam-st-etienne.fr
OUVERTURE: TOUS LES JOURS 10 H > 18 H (sauf les mardis)

Exposition 'Carnet de guerre de Rob Roy 1939 à 1944’ en partenariat avec l'ONAC du 3 avril au 25 juin à Beauvais

Dans le cadre du 70ème anniversaire des débarquements et de la libération de la France, le directeur du service départemental de l’ONACVG de l'Oise et l’Association des Amis de Rob Roy proposent les "Carnet de guerre de Rob Roy 1939 à 1944" du 3 avril au 25 juin à Beauvais.

Robert de la Riviere (1909-1992) dit Rob Roy peintre aquarelliste, très connu dans le domaine de l’automobile, a retracé la grande épopée des courses entre les deux guerres.

Ces derniers mois, un travail de ses enfants et petits enfants a permis de sortir des ‘‘cartons’’ ses carnets de guerre composés de textes, aquarelles et dessins. Et au delà de la dimension affective de la transmission de l’héritage de leur aïeul, c’est le témoignage d’un simple soldat qui appartient à tout le monde. Et toute une famille s’est retrouvée autour de ce travail de transmission et de contribution à l’enrichissement de la connaissance de cette période.

Rob Roy y raconte sa vie au quotidien depuis sa mobilisation en 1939, les combats en mai et juin 1940 dans les régions de Reims, Vouziers, et Vitry le François, sa capture par les Allemands à St Didier prés de Saulieu la captivité en Autriche dans le stalag XVIIB, la période de l’occupation à Chatou dans la région parisienne, où sa famille réside, jusqu’à la libération de Paris en août 1944.

A travers cette exposition, Rob Roy, raconte décrit et dessine cette guerre comme une grande aventure qui dépasse l’homme. L’homme que l’on retrouve dans chaque illustration, dans les moindres détails.

Ce travail de mémoire, d’une grande précision, décrit, sans porter de jugement, des situations sincères, colorées, précises et vivantes, et possède une vertu pédagogique auprès des jeunes générations tout en développant les valeurs fondamentales de notre société et s’inscrit totalement dans les missions du comité d’éducation à la santé et à la citoyenneté.

Cette exposition retrace de manière chronologique cette période et se compose de 25 agrandissements (65 x 35), d’aquarelles et dessins de Rob Roy, ainsi que de 10 tableaux (42 x 52) de documents d’époque. Le collectif « France 40 » contribue à enrichir l’exposition par la présentation d’une motocyclette et de 2 mannequins habillés des tenues de combats d’époque et un collectionneur privé présente une collection d’armes et de munitions.

Vernissage de l’exposition le jeudi 3 avril à 15h00
Service départemental de l’ONAC de l’Oise
6 rue de Franc Marché -Beauvais
Entrée libre du lundi au vendredi, de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00 (16h00 le vendredi).
Pour les groupes et les scolaires : visites guidées sur réservation au 03 44 45 80 34.

L’exposition (images, textes et commentaires audio) est accessible gratuitement au sein de l’application GuidiGO pour smartphones, et tablettes que les scolaires et les visiteurs peuvent télécharger lors de leur visite sur Apple store et l'Android Market. Cette application propose aussi un questionnaire qui sous forme de jeu permet de comprendre encore mieux toute cette période de notre histoire. Des tablettes numériques sont également disponibles sous la forme de prêt gracieux auprès du service départemental de l’Oise de l’ONACVG.

A propos de Rob Roy (1909-1992)

Né à Mont-de-Marsan dans les Landes, le 3 octobre 1909, Rob Roy (pseudonyme à partir des initiales de son nom Robert de la Riviere et du célèbre héros de l’écrivain Walter Scott.) fut, dès sa jeunesse un amoureux fou de l'automobile et du dessin.

Rob Roy n'a cessé de dessiner, de peindre et de croquer tous les évènements qui ont traversé sa vie. C'était un besoin instinctif qui l'a conduit à parfaire son sens de l'observation pour mieux traquer l'instant, le mouvement et l'action. Il sut, grâce à ce don, faire vivre les voitures de compétition des belles années, les Vintages, et laisse ainsi un témoignage illustre de l'époque.

Son père, très bon caricaturiste et dessinateur animalier, lui transmit le don du dessin et le goût de l'automobile. De cette dernière il fut un précurseur, avec l'achat d'une des premières voitures à brûleurs, puis une De Dion-Bouton et, en 1913, une douze chevaux Rochet-Schneider.

La Grande Guerre stoppa l'élan de la construction automobile, mais, aussitôt après 1918, la fabrication reprend et des compétitions s’organisent.

En 1926, Rob Roy assiste ainsi pour la première fois aux Vingt-quatre Heures du Mans. C'est le coup de foudre ! Il devient alors un spectateur régulier, admiratif et attentif de ces duels automobiles entre des as du volant, tels Varzi, Nuvolari, Chiron, Sommer, Wimille, Benoist, Ascari…. sur tous les circuits français. Passionné par ces mécaniques nouvelles, Rob Roy en retrace ses souvenirs sur le papier.

En 1930, Rob Roy, peintre « autodidacte » dessine pour la première fois pour le journal La Petite Gironde, à l'occasion du Grand Prix de Bordeaux. Déjà, ses dessins révèlent un authentique talent, au style très personnel.

En 1936 Robert de la Riviere très attaché par le calme et la verdure s’installe à Chatou avec son épouse Denyse. Cinq enfants naîtront de leur union.

En 1939, Mobilisé en septembre 1939 à Chatou Il s'engage dans la 3ème division cuirassée près de Reims. Fait prisonnier par les Panzer SS en juin 1940, il se retrouve au camp de Krems en Autriche, d'où il s'évade en décembre 1940 pour retrouver sa famille en mars 1941 à Chatou. De cette dramatique et dure période, Rob Roy laisse un carnet de guerre vivant, coloré et précis.

Après la guerre, Rob Roy reprend une activité professionnelle intense, principalement au service de l'industrie automobile, et consacre son temps libre à rester l'ami des grands champions de l'époque et à côtoyer le milieu de la compétition automobile ; Il est aussi illustrateur pour de nombreux magazines spécialisés : L'Action Automobile, L'Automobile, etc. On trouve également sa signature au bas de plus d'une affiche de grand prix.

Homme au caractère courageux, énergique et passionné, Rob Roy continue à peindre pour son plaisir les bolides de la grande époque, avec de plus en plus d'obstination pour le détail technique et historique, et ce jusqu'à la fin de sa vie à Chatou en octobre 1992.

Exposition temporaire au musée Audi : l’histoire de l’Audi TT

En 1995, Audi présentait un concept inédit : l’Audi TT. La 3ème génération de ce modèle sportif a été présentée début mars 2014. L’exposition spéciale, intitulée « State of the ArTT », présente l’histoire de cette icône du design. 8 voitures issues de la production et de la compétition automobile seront exposées à Ingolstadt à l’Audi museum mobile du 2 avril au 11 mai.

Design radical, mais parfaitement adaptée à un usage quotidien – tel était le slogan de la 1ère Audi TT. « Les spécifications requises ont donnée naissance à un concept de voiture sportive très maniable, » se souvient le Prof. Dr. Ulrich Hackenberg, Membre du directoire de AUDI AG en charge du développement technique, qui avait supervisé le développement de l’Audi TT. En quelques semaines, une petite équipe de designers et d’ingénieurs ont façonnés la première version de ce modèle reconnaissable entre tous. À l’intérieur, le principe de « seul ce qui est nécessaire » régnait. Les show cars Coupé (IAA de Francfort 1995) et Roadster (Salon de l’Auto de Tokyo 1995) ont été suivis par les commercialisations de l’Audi TT Coupé en 1998 et de l’Audi TT Roadster en 1999.

La deuxième génération d’Audi TT lancée en 2006 sera également exposée. Encore plus sportive avec des moteurs plus puissants et un travail important sur les matériaux employés. L’Audi TT est une icône du design, comme en atteste l’award de « World Design Car of the Year » qu’elle remporte en 2007.

Au Salon de l’Automobile de Genève 2014, Audi a présenté la 3ème génération de l’Audi TT. « Plus que jamais, la nouvelle Audi TT est l’ambassadrice de la sportivité, » déclare le Prof. Dr. Ulrich Hackenberg. Elle présente en première mondiale une innovation particulièrement pertinente pour les modèles sportif « Le virtual cockpit est une grande nouveauté, c’est un tableau de bord digital qui remplace les indicateurs classiques et qui se trouve dans le champ de vision du conducteur. »

Pour la 1ère fois, les 3 générations de l’Audi TT seront exposées à l’Audi museum mobile.

«State of the ArTT » permet également de découvrir ou redécouvrir l’histoire de l’Audi TT en compétition automobile. À partir de 2000, l’Audi TT-R, Team Abt, a concouru en DTM (championnat de voitures de tourisme allemand), remportant le titre en 2003. L’Audi TT RS est également exposée dans sa version de course, une voiture spécialement travaillée par les ingénieurs Audi pour la saison 2012 du championnat d’endurance VLN (Veranstaltergmeinschaft Langstreckenmeisterschaft Nürburgring).

Le modèle qui gravit Pikes Peak sans conducteur en 2010 sera exposé. L’Audi TTS « Pikes Peak » est considérée comme un élément clé de l’histoire de la conduite pilotée. Le design extérieur est inspiré des Audi rallye quattro qui écrivaient la légende de la « Pikes Peak Hill Climb » il y a 25 ans.

L’Audi TT ultra quattro concept fait aussi partie de l’exposition. Les ingénieurs ont constamment développé l’Audi Space Frame (ASF), tout en comptant sur un mélange intelligent de matériaux. Le show car de 2013 effectue le 0 à 100 km/h en 4,2 secondes. Son ratio puissance – poids de 3,6 kg / ch le situe parmi les meilleures super cars.

«State of the ArTT » suit l’histoire de l’Audi TT depuis ses racines. La NSU Quickly TT, un cyclomoteur designé pour les fans de sport, a été lancé sous ce nom en 1959. Six ans plus tard, la NSU Prinz 1000 TT, une voiture compacte construite à Neckarsulm, est lancée sur le marché. La désignation « TT » rappelle le Tourist Trophy, l’une des courses de moto les plus anciennes et difficiles du monde. En 1953 et l’année suivante, l’équipe NSU a été victorieuse sur l’île de Man avec la Rennmax et la Rennfox, décrochant même une quadruple victoire en catégorie 250 en 1954. NSU Rennfox, NSU Quickly TT et un modèle de la NSU Prinz 1000 TT seront également exposés.

«State of the ArTT » est ouvert tous les jours de 09h00 à 18h00, du 2 avril au 11 mai 2014.

jeudi 20 mars 2014

NEW YORK, L'EXPO !

Du 24 mai au 1er juin 2014, la Foire Internationale de Bordeaux !

Du 24 mai au 1er juin, la Foire Internationale de Bordeaux change de fuseau horaire et passe à l'heure new-yorkaise. Sur plus de 5 000 m², « NEW-YORK L'EXPO » invite les visiteurs à vivre l'« American dream » au cœur de « Big Apple » ! Une exposition-évènement qui rassemblera les mythes et les réalités du New-York d'hier et d'aujourd'hui : au fil des quartiers emblématiques fidèlement reconstitués, les voyageurs d'un jour remonteront le temps pour découvrir l'histoire de cette ville fascinante. Cap également sur le New-York du XXIème, temple des cultures urbaines, cosmopolite et trépidant, à croquer sans modération pendant 9 jours, avec de nombreuses animations sportives et culturelles ! Rendez-vous au Parc des Expositions de Bordeaux.

Welcome to the legend of New-York City !
Eldorado depuis plus de 300 ans pour des millions d'immigrants attirés par le rêve américain, première destination touristique du continent américain, capitale de la culture, de la mode et de la finance : New-York fait toujours rêver le monde entier ! Chantée et filmée par les plus grands, de Liza Minnelli à Woody Allen, la ville qui ne dort jamais n'en finit pas de surprendre. Mettant en scène le formidable kaléidoscope d'histoires et de cultures qui font de New-York une métropole à part, la Foire Internationale de Bordeaux invite les visiteurs à entrer eux aussi dans la légende ...

Il était une fois New-York...
L'une des étapes de ce voyage Outre-Atlantique, une exposition phare de 1 600 m² transportera le public dans les rues de New-York, remarquablement reconstituées à partir d'une large collection d'objets et d'éléments de décor d'époque, pour découvrir son histoire, de sa naissance au XVIIeme siècle à nos jours. Les visiteurs seront accueillis par une sculpture de 4,30 m de haut - la main de la Statue de la Liberté brandissant son flambeau - ce phare de la Baie d'Hudson que guettaient ardemment les voyageurs en quête d'une nouvelle vie.

De Little Italy à Times Square, une balade au cœur de l'ADN de New-York
Au fil des quartiers new-yorkais, le XXeme siècle déroule ses années fastes et ses périodes sombres. L'expansion des années 1920, avec le quotidien reconstitué de Mulberry Street, une rue aux façades néo-victoriennes et au légendaire barber-shop. Plus loin, Wall Street ébranlée par la crise de 1929 et la Grande Dépression ; puis vient le temps des gratte-ciels avec la présentation, au travers de pièces authentiques des plus emblématiques d'entre eux, comme le Flatiron Building ou l'Empire State Building.

Les années 1930 signent l'âge de la prohibition et de la mafia que font revivre la reconstitution du bureau d'un détective privé et la présentation d'objets d'époque du Département de la police de New-York (NYPD) et d'armes de gangsters. C'est aussi l'époque des premiers Comics : pour les passionnés, une présentation de la saga Marvel avec une exposition d'ouvrages originaux et les statues de super héros en taille réelle !

Dans la lumière du « Golden age »
Dans une Amérique triomphante, les années 1950 et 1960 sonnent l'avènement de la publicité, de l'automobile, du cinéma, de la télévision ... Pour retracer cette période, voici un quartier et ses boutiques (food market, magasin de mode, de musique...), son garage Texaco, sa cabine téléphonique Bell, ses panneaux publicitaires, son vrai Yellow Cab, le fameux taxi new-yorkais jaune ... Ce voyage à Big Apple, s'achève avec la visite du New-York 2014 : le nouveau quartier des tours du World Trade Center, avec la présentation de la One World Trade Center, à ce jour plus haute tour des Etats-Unis avec 541 m. Les visiteurs de la Foire pourront s'acheter un souvenir au fameux logo « NYC ».

Les rues de New-York City, comme si vous y étiez ...
Pour une immersion dans la vie des new-yorkais, rendez-vous dans la « cage », ce terrain de street basket grillagé que l'on retrouve dans de nombreux quartiers de la ville. Cet espace scénique accueillera tout au long de la Foire, un melting-pot de cultures urbaines. Autres piliers de la vie new-yorkaise, les pompiers de New-York seront sur le pont durant la Foire ! De nombreuses animations feront découvrir aux petits et aux grands, l'univers de ces valeureux combattants du feu : tour de la Foire du célèbre camion rouge et blanc avec sirène et gyrophares, essayage de tenues de pompiers ...

A la découverte de l'« American way of life » !
« NEW YORK L'EXPO » embarquera aussi les visiteurs pour un « road trip » dans la culture populaire américaine, avec la présence d'une vingtaine de voitures anciennes mythiques, des shows de line dance (danse country en ligne) ..., mais aussi de nombreux sports que les amateurs pourront découvrir au cours de démonstrations, sans oublier les incontournables « cheerleaders» (pom-pom girls). L'ambiance sera assurément au rendez-vous !

Deux nuits américaines pour faire le show !
Temps forts familiaux de la Foire, les deux nocturnes se mettront aux couleurs de la bannière é toilée avec un programme 100 % US : parades de motos Harley-Davidson et d'automobiles anciennes américaines, le samedi 24 mai, concert et feu d'artifices le 28 mai... Il y aura bien plus de 50 étoiles dans les nuits de la Foire !

www.foiredebordeaux.com

mercredi 19 mars 2014

Le Palais de Tokyo accueille PARAPANORAMA, une exposition Audi talents awards

Partenaire des D’Days depuis 2007, le programme Audi talents awards réunit art contemporain et design à travers PARAPANORAMA, une performance collective inédite, orchestrée par le commissaire d’exposition Gaël Charbau, qui se tiendra au Palais de Tokyo dans la Galerie Haute du 19 au 25 mai 2014.

Ce happening monumental et ludique qui s’inspire des « connecteurs » de Jérôme Dumetz, lauréat design 2013 invitera à participer :
- des plasticiens et designers : matali crasset, Mathieu Mercier…notamment
- les lauréats Audi talents awards en design et art contemporain
- le grand public

PARAPANORAMA, qui s’inscrit dans le cadre de l’accompagnement qu’a remporté Jérôme Dumetz avec son prix décerné en 2013, réinvente le format de l’exposition et propose une histoire de mouvement, thème de cette 8ème édition des D’Days.

Les « connecteurs » de Jérôme Dumetz
Le projet de Jérôme Dumetz est une collection de 8 pièces de connecteurs permettant de créer selon son envie son propre mobilier ou éléments de décoration à partir de panneaux de bois achetés et découpés dans une grande surface de bricolage. Le projet repose sur la simplicité de sa mise en oeuvre et s’inscrit dans la dynamique DIY (« Design it Yourself » et/ou « Do It Yourself »).

Jérôme propose déjà une ligne de mobilier (étagère, table, chaise…) qu’il a créée et qui est à refaire soi-même.

PARAPANORAMA est une expérience à grande échelle des possibilités offertes par ces connecteurs, mêlant design et art, qui seront produits à cette occasion à 10 000 exemplaires.

En tant que Mécène du MAMO et parce que l’atelier de Jérôme Dumetz est au cœur de Marseille, le programme Audi talents awards mettra en place pendant les D’Days une retransmission de PARAPANORAMA à la cité Radieuse et organisera un workshop destiné au grand public dans un esprit ludique et participatif. Jérôme Dumetz y exposera également ses créations issues de ses connecteurs.

Le mot de Gaël Charbau, commissaire d’exposition de PARAPANORAMA
« Parapanorama est une exposition au titre hybride : il est formé du préfixe "Para" (du grec παρά « à côté de ») et du mot panorama qui évoque une vue d'ensemble, un paysage circulaire, une forme de "totalité". C'est bien l'ambition de notre projet : à partir d'un vocabulaire plastique essentiel, composé des connecteurs de Jérôme Dumetz et d'éléments de construction élémentaires (panneaux de bois, tasseaux, cordes), Parapanorama propose de réunir toutes les conditions pour débrider l'imaginaire d'artistes, de designers et d’amateurs dans la Galerie Haute du Palais de Tokyo.

Dans cet espace, qui devient pendant les D’Days un véritable laboratoire artistique, ces créateurs vont confronter leurs visions, leurs pratiques, leurs utopies. Nous voulions que cette expérience puisse être partagée dans sa totalité avec le public : la réalisation des projets, l'accomplissement -ou pourquoi pas l'abandon- de certaines tentatives se feront sous les yeux du public, en direct. L'atelier et le lieu d'exposition seront un seul et même terrain. Un terrain de jeu, un terrain d'expériences, un terrain de négociations... un lieu en mouvement permanent, imprévisible pour les spectateurs, le commissaire d'exposition ou les artistes invités, tous à la fois à l'intérieur et "à côté de" ce monde en construction. »

PARAPANORAMA : une rencontre entre l’art contemporain et le design
Le Palais de Tokyo, ancré dans le contemporain, se fait l’écho des dépassements continuels qui bouleversent notre rapport au monde. Cet ancrage nécessite aussi de s’ouvrir à ceux qui donnent forme aux objets du monde et qui repensent leurs usages. Quand les designers expérimentent, le Palais de Tokyo est concerné. Les artistes et les designers sont ainsi aux avant-postes, chacun à leur manière, d’une réinvention du temps présent. Le Palais de Tokyo doit rendre cette situation visible et soutenir cette expérimentation permanente. PARAPANORAMA s’inscrit dans cette nouvelle orientation du Palais de Tokyo qui signe son premier partenariat avec les D’Days. Dans ce cadre, PARAPANORAMA est au programme du Palais de Tokyo, aux côtés de Constance Guisset (dont l’œuvre « les 3 conversations » est produite par Audi talents awards), Claire Lavabre, Antoine Boudin et Nao Tamura. Jean de Loisy, Président du Palais de Tokyo, devient d’ailleurs membre du jury 2014 du programme Audi talents awards dans les catégories design et art contemporain.
Jérôme Dumetz, (lauréat design 2013 en Design) et Ivan Argote, (lauréat 2013 en art contemporain 2013) poseront simultanément les premiers départs de feu de PARAPANORAMA.

Accompagnés d’anciens lauréats Audi talents awards, ils seront également rejoints par des artistes et designers de renom qui ont répondu présents à cette invitation, comme matali crasset ou Mathieu Mercier.

Informations pratiques :

Informations sur PARAPANORAMA
Palais de Tokyo, 13 Avenue du Président Wilson, 75016 Paris, de midi à minuit, du 19 au 25 mai, sauf le mardi 20 mai, fermé au public.
Participation du grand public de 18h00 heures à 00h00 heures du 21 au 24 mai

Informations sur le programme Audi talents awards www.audi.fr/ATA

Informations sur Jérôme Dumetz www.jeromedumetz.com

lundi 10 mars 2014

PAÑOS. PRISON BREAK / UN ART BRUT CARCERAL? GALERIE CHRISTIAN BERST / 11 MARS-19 AVRIL 2014

La galerie christian berst explore les frontières de l’art brut en exposant, du 11 mars au 19 avril, des oeuvres produites en milieu carcéral: une cinquantaine de paños mexicains, mouchoirs sur lesquels les détenus dessinent à l’encre, emblématiques de la subculture latino des prisons de Los Angeles. Le cabinet de curiosité accueille les dessins de Boris Santamaria, prisonnier cubain.

Pour les prisonniers latinos du sud-ouest des Etats-Unis, souvent illettrés et condamnés à de longues peines, ces messages aux allures d’enluminures adressés à leurs proches sur les paños — diminutif de panuelos (mouchoirs en espagnol) — représentent l’unique moyen de communication avec l’extérieur. Les motifs, réalisés à l’encre de stylo bille, suivant une technique transmise d’une génération de détenus à l’autre, synchrétisent les icônes du peuple mexicain (héros de la révolution, légendes pré-colombiennes...) et celles de la culture des gangs latinos (pin up aux formes généreuses, grosses cylindrées...). Si ce registre est choisi pour les élues de leur coeur, les enfants reçoivent des personnages de cartoons et les mères des sujets religieux traditionnels: Vierge de la Guadalupe, Jésus en croix, mains jointes sur la Bible...
Cette correspondance sur étoffe, développée à la fin des années 40, est une première affirmation de l’identité chicano en Amérique du Nord.

Utilisant lui aussi comme seul matériau le stylo bille, Boris Santamaria, né à Cuba en 1971, exorcise son mal être d’homme aux prises avec les drogues et la maladie par ses dessins sur fond de lignes hachurées comme autant de barreaux de la prison qu’il a fréquentée. Son iconographie fustige l’autorité — les autorités (religieuses, politiques, économiques) — en utilisant les codes de la rue ou de la contreculture.

Publication : Un catalogue bilingue (fr|en) de 200 p.

Vernissage : samedi 08 mars, 18h-21h

Exposition co-organisée avec Pascal Saumade /La Pop Galerie

Durant l’exposition, la galerie sera présente sur les salons :
— Drawing now (26 > 30 mars): José Johann Seinen, Gianni Antonelli, Beverly Baker, Saito Yuichi, Lubos Plny.
— Art Paris (27 > 30 mars): Eugene von Bruenhenhein, Li Dayi, Dan Miller, Lubos Plny, Harald Stoffers.

Galerie Christian Berst. Art brut Paris
Passage des Gravilliers. 10, rue Chapon Paris 3e
+33 1 53 33 01 70 contact@christianberst.com
www.christianberst.com
Mardi au samedi de 14 à 19 h